Nevada Barr

13 1/2
un juge, douze jurés et même pas une moitié de chance...

Je ne vais pas dire que c'ets un titre histoire d etoruver un titre, cela a un rapport quand même avec l'histoire mais pas lmoin quand même.

1968, Dylan, 11 ans, esta ccusé d'avoir tué ses parents et sa petite soeur. Son frère aîné, Richard, s'en sort vivant parce qu'il était parti fleurter avec la voisine, mais de retour à la maison, lorsqu'il découvre le massacre, il se défend contre son frère, le blesse en étant blessé.
Pas de pardon pour celui qui va être surnommé "le petit boucher" ; toute la tendresse de l'amérique pour ce petit héros survivant qui reçoit soutient, calîns, argents et qui parvient à montrer tant de clémence pour ce frère immonde.
A Drummond où il est interné, Dylan a une place de choix pami les caïds, aucun n'a fait pire que lui ; les matons sont très sévères mais en même temps ils ont peur de lui. Le psychiatre veut écrire un livre sur son histoire, il veut un best-seller, devenir riche, et il ets pret à tout pour arracher les aveux à ce gamin qui malgré toutes les tenttives prétend ne pas se souvenir de ce qui s'ets passé.

Les années, nombreuses, passent. Dylan et libéré, son frère et lui ont changé de noms, mais vivent toujours ensemble, l'un protégeant l'autre. Parfois une femme entre dans la fraterie, mais pas longtemps, des choses bizarres comme le chien de l'une d'elle qui se retrouve dans le congélateur les fait vites partir. Polly, mère de deux enfants, va s'installer bien plus que ça, elle va épouser Richard, devenu Marshall, et entraîner sa petite troupe dans la gueule de la bête.


Si l'on ne lie pas la 4ème ni la première d'ailleurs dans son ensemble, le mystère reste jusqu'à la moitié du livre où l'on découvre pourquoi les deux frères ont survécu, mais si on lie la couverture, on sait de suite qui a tué. Bref, ça tient pas longtemps côté mystère mais c'est sans doute voulu comme cela et c'est plutôt la tension qui fait avancer, comme cette musique dans les films d'horreur qui annonce l'arrivé d'un danger, danger qui souvent ne survient pas, mais la musique nous entrâine plus en avant dans l'histoire, on veut savoir ; c'est un peu le même principe dans ce livre, on veut savoir ce qui va se passer, comment Polly va se sortir, ses filles et elle, de cette histoire....

Fallait que je présente le livre au 3/4, qu'il fasse trop chaud pour aller marcher et que je m'installe pour continuer la suite pour justement tomber sur un os et remettre en question ce que j'ai dit au-dessus.
Je suis pourtant bienc ertaine d'avoir compris, et il n'y a que deux frères, pas 36 à mélanger, mais je suis tombée juste derrière le moment où j'étais arrivé quand j'ai fait ma présentation à un passage qui me fait me demander si je n'ai aps mélangé les frères. Biensur ils ont changé de noms, mais j'ai comme l'impression que d'un coup, ils ont chang leurs places aussi... bon ça change rien à l'identité du coupable, sauf que je trouve qu'ils ont échangé leur place, je pensais que l'aîné était le mari et inversement, mais non, là d'un coup c'est le contraire. IL faudrait presque que je relise une partie du livre pour voir si c'est moi qui ai débloquée en route ou si c'est l'auteur qui s'est enmélée toute seule les pinceaux. Ce ne peut-être la traduction, des prénoms quand même, ça se traduit facilement ! d'autant plus qu'ils ne sont pas proches.

Compliqué tout cela ^^ Quel dommage !!

Et comme ça, en même temps, tu n'étais pas déçue par la fin puisque tu l'écrivais toi-même
N'empêche que c'est énervant ce genre de chose. Ils pourraient quand même vérifier un peu ce qu'ils impriment.
Je n'ai encore pas eu ce cas-là, mais j'ai déjà eu le mélange de chapritres - en fait le suivant était avant, les places avaient été inversées -, même si c'est moins grave, c'est quand même enquiquinant et ça ne devrait pas arriver ce genre de chose. J'ai déjà eu aussi le cas avec des pages, là ça devient plus problèmatique, tu ne penses pas forcément à regarder les numéros de pages et il faut en plus les remettre dans l'ordre.

Oui exact ^^ Je n'ai rencontré ce problème qu'une fois et heureusement

Marie-Ange, ton histoire me fait penser à un film vu il y a deux ans, tiré d'un roman, Boy A, qui raconte l'impossible rédemption d'un jeune homme, condamné alors qu'il était presque enfant. Très triste.