A propos d'élections.

Une employée de maison arrive essoufflée chez le médecin qui l'emploie. Son corsage largement ouvert laisse entrevoir sa généreuse poitrine. Elle explique son retard en raison de son passage au bureau de vote. Tout en lorgnant du côté du décolleté, le médecin demande :

- Pour qui votait-on ?
Et la femme de répondre :
- Pas pour vous médecin.

Pour les âmes innocentes qui ne comprendraient pas, il est conseillé de lire la question et sa réponse à voix haute.

tu aurais mis un "r" au lieu d'un "l" à "élection", ça marchait aussi

Que sont devenues les âmes innocentes ?
En fait, comme je suis en train de relire La guerre des boutons de Louis Pergaud, il est permis de considérer que les âmes innocentes ont toujours été une denrée rare.

Le mienne en tout cas... Comment te dire ? Envolée peut-être ?

Un village de la Marne a pour nom " Bergère les vertus " et l'on a forgé cette maxime : De bergères il n'y en a plus guère et quant à la vertu, elle n'en ont plus.

Ouaip, mais je n'y suis pour rien

Guardian

La bergère, c'est comme l'infirmière, ça en fait toujours fantasmer certains... sauf qu'il est plus facile de trouver une infirmière en uniforme qu'une bergère aujourd'hui...

Ouaip... Si la bergère fait rêver, qu'elle se méfie quand même des Anglais si elle passe par Rouen

Euh, c'est plutôt d'un certain Cauchon dont il faut se méfier...

Si les bergères se mettent à garder les cochons, pas étonnant qu'elles aient des ennuis
D'autant que si ma mémoire est bonne, elle fricottait aussi avec un dauphin

Pour faire dodo, la bête à deux dos.

B* ou dormir, il faut choisir...

MA va nous rappeler à l'ordre. je choisis donc d'aller dormir après après avoir relu quelques pages de La guerre de boutons.

Ha bin, on fait rien nous ? On cause

Sans compter que MA... https://unptitcointranquil.1fr1.net/t2880p135-livres-electroniques#38025
Bref

Nous sommes souvent à trois dans le lit car le soir parfois, avant d'aller sur une vieille robe de chambre, mais plus souvent le matin après une nuit passée à l'extérieur si le temps l'y invite, le chat vient se blottir dans le creux de l'épaule droite de mon mari, une patte posée sur la poitrine. Quand il a terminé son câlin, il vient s'installer quelques minutes sur mon oreiller, juste au dessus de ma tête. Comme je m'occupe de sa pitance, il me manifeste sa reconnaissance et me rappelle que l'heure du lever approche.
Ce chat a été séduit par le fauteuil de mon mari quand nous sommes allés au refuge il y a deux ans. Nous prenions notre temps pour choisir. Celui-là était venu se frotter contre le fauteuil et avait accepté à deux reprises de se blottir sur les genoux de mon mari. On nous a assuré que c'était " un bon petit père ". Durant le voyage du retour il n'a miaulé qu'une seule fois et le premier soir il est resté accroché à son nouveau propriétaire la tête sous le cou et une patte sur chaque épaule. Il est resté ainsi une bonne demi-heure avant de se décider à rejoindre sa couchette qui est selon son humeur, une chaise, une corbeille, une robe de chambre transformée en carpette ou encore le coin du buffet où s'entasse le courrier.
Ainsi s'achève le chaste récit de nos performances.