Il en sait des choses Guardian.
Bon, c'est pas tout ça, mais je voudrais dire que dans le mille bornes ou dans le jeu de l'oie, c'est comme dans les contes et dans la vie. Il y a un chemin à parcourir avec des bâtons dans les roues, des emmerdes quoi, mais aussi des opportunités et des coups de chance.
Dans le jargon de la critique littéraire, on dit des opposants et des adjuvants.
Et là où c'est plus fort que le Roquefort, c'est que des auteurs arrivent à susciter notre intérêt pour les perdants. Je pense aux "Perses" d'Eschyle par exemple ou à cette généreuse " Boule de suif " de Maupassant.
Et c'est comme ça que les derniers seront les premiers.
Eh oui, il faut savoir perdre et tirer la leçon des échecs pour les surmonter. Bon j'arrête mes considérations pour accomplir quelques tâches ménagères?