Romans à « l’eau de rose »

Considéré comme certain comme encore plus mauvais genre que le polar, certaines bibliothèques, sites et forums censures les romans dit à « l’eau de rose », mais en réalité qu’ont-ils de rejetables ? Certes ce n’est pas de la grande littérature, et alors ? La « grande littérature » n’est pas à la portée ni au goût de tous. Ce ne sont finalement que des contes de fées actuels et pour adultes. On y retrouve la fille paumée, son prince charmant, et parfois la ou le méchant… assaisonné d’un peu plus de « olé olé » que les contes de fées, et pour cause les second sont destinés à la jeunesse, les premiers aux adultes à qui il faut un peu plus de piment. Pourquoi reprocher à certaines femmes d’aimer ce genre de livres ? Ils font autant voyager et rêver certaines qu’un documentaire sur un pays exotiques pour d’autres.
Ici sur Un p’tit coin tranquil’, pas de censure pour le mauvais genre, celui qui aime à le droit de le faire savoir… donc si vous avez de bons souvenirs de lecture de romans d’amour, n’ayant pas de gêne et venez nous en parler.

Le site d'Harlequin propose la lecture de romans en lignes, lecture gratuite ( http://www.harlequin.fr/lecture/ ).
La lecture sur écran est fatigante certes, mais avec le coût de l'encre et du papier, il vaut mieux acheter qu'imprimer un Harlequin. En surveillant le temps passé à l'écran comme on le fait pour toute utilisation de l'ordinateur, on peut tout de même lire sans trop de gène, en tout cas, bien que je préfère la lecture sur papier, la lecture sur écran ne me dérange pas... mes yeux se fatiguent autant avec un écran que sur une page, il me suffit donc de faire attention à mon temps de lecture.

Aimant les histoires d'amour, il m'arrive de lire des harlequins. Cela fait rire, certains même me critiques. Moi, je n'ai pas honte de mes lectures.

Disons que ce qu'on peut leur repprocher c'est qu'à la longue c'est toujours le même... le même ton, la même ambiance, le déroulement est toujours fait sur le même modèle et la fin est systématiquement bonne (oui, je sais, des fois je suis un pu "bizar", j'aime que parfois cela se finisse mal... mais dans la réalité, les histoires ne finissent pas toujours bien, alors même si on aime bien que les livres nous changent de notre réalité, de temps à autre c'est bien qu'ils soient réalistes).
Une professeur d'économie que j'avais au lycée et qui lisait également beaucoup, disait que les harlequins étaient écris selon un modèle ; les lieux, les noms étaient changés, mis la base restit identique... et quand on y regarde bien, c'est le cas... mais des fois, ça fait du bien un de ces livres, ça change du train train quotidien...
Et rare aujourd'hui sont les romans n'ayant pas leur histoire d'amour en parallèle de leur histoire principale... qu'ils soient historiques, du "terroire", policiers, de science-fiction...

Avant de lire le livre de François Chabrey, j'ai lu, rapidement, Qui perd gagne de Anaïck de Launey, publié par Nous Deux. Sympathique, qui sort un peu du niannian habituel de ce genre de livre. Aux Bermudes, une française entraînée là par une amie qui voulaient qu'elles ouvrent un magasin de vêtement, se retrouve à devoir liquider une affaire qui ne marche pas et à trovuer du travail pour payer son billet retour vers la France après que sa copine l'ai planter là pour partir avec un homme. Suite à un entretien d'embauche qu'elle a quitté furaxe parce que le chef du personnel avait les mains baladeuses, la fille se fait accoster par un type, tout sourire, mignon, qui se dit agent immobilier, cherchant des personnes qui présentent bien et ayant du tempéramment. Si elle parvient à vendre une propriété à un client récalcitrant, elle aura un job dans son agence. Elle parvient à vendre une superbe villa à cet éleveur canadien fortuné venu chercher une maison en un cadeau de mariage pour sa soeur. Mais c'est une anarque, la demeure n'est pas libre, l'agence n'existe pas, le responsable s'est envolé avec la caisse, la police connaît la tête pensante mais ne peut rien faire contre. Alors la fille et l'éleveur mettent au point à leur tour une anarque afin de récupérer l'argent de la villa en roulant le truant.

Harlequin a lancé une nouvelle série/collection, dispo depuis octobre 2014.
Un nouveau format, plus grand, des nouvelles couvertures, avec un logo différent aussi. En fait, on ne voit pas de suite qu'il s'agit d'un harlequin, comme on peut les voir sur les images de couvertures ci-dessous. La première me fait même penser au genre "humour pour femmes".