Jackelyn Mitchard

Un été pas comme les autres

J'en suis à un peu plus de la moitié... je continue, j'ai envie de connaître la suite, masi j'ai du mal à avancer. Presque 500 pages, mais ce n'est pas trop le problème, c'est plut$ot que ça n'avance pas. Il a fallu un logn moment pour que l'histoire se mette en route, où plutôt qu'il se passe enfin quelque chose (du remu-ménage). Et puis, je n'aime pas les personnages, ça ça y fait pas mal aussi. ED'habitude, ce genre de livre, je l'ai déjà abandonné, mais celui-là réussit quand même à me faire le continuer.

Des amies de lycée décident de s'offrir une escapade en mer, à bord d'un voilier, aux petits soins du proprio et de son associé. Elles sont 4. L'une est veuve depuis peu d'un comte italien assez fortuné. Elle ne l'aimais pas parce qu'elle n'aime qu'elle même, mais elle aimait son portefeuille. Elle cherche à garder sa ligne et sa jeunesse en essayant d'attiré tout ce qui est jeune et beau mâle dans ses bras. Une autre est mère de famille et avait besoin de prendre l'air. Une autre annule son voyage parce que son mari trouve une excuse pour qu'elle ne parte pas. La dernière, un peu mon genre qui ne s'occupe pas de son apparance, la seule que j'apprécie à peu près, est venue avec sa fille qui remplace l'absente. 19 ans, en rebellion contre sa mère, canon, Cammie va craquer pour le jeune associé de 25 ans. Entre la comtesse et Cammie va se créer une lutte : la première ne supportant pas de se faire doubler par une jeunette, la deuxième tombée sous le charme du type qui ressent la même chose en retour.
Bref, jusque plus du tiers du livre, on a ça, franchement pas de quoi se retourner.
Puis, une tempête éclate et les deux hommes disparaissent en mer - ils meurent tous les deux, mais les femmes ne le savent pas de suite. Les vacancières se retrouvent seules à bord d'un bateau à la dérive, grande voile arrachée, moteur en panne, hélice tordue... et c'est là que des types pas du tout fréquentables décident en plus de leur voler leur bateau pensant qu'il est en état de naviguer contrairement au leur qui est en panne de carburant.
Bon, là c'est un peu plus intéressant... j'attends la suite...

Lecture terminée.
Comme je l'ai dit, début très long, et du genre casse bonbon pour moi, le genre que j'aurais d'habitude abandonné, mais j'ai du sentir quelque chose, je me suis accrochée et une fois que cela se met en route, c'est finalement pas mal du tout, ces femmes se retrouvant seules sur un bateau à la dérive, sans eau, sans vivres - ou si peu- araisonnées par des traficants de drogues, malades, blessées, qui se retrouvent face à des vérités qu'elles avaient caché, souvent à elles-mêmes.