Un p'tit coin tranquil' S'amuser, s'informer, échanger, se détendre, sont les maître-mots en ces lieux |
| | L'histoire sans fin. | |
| | |
Auteur | Message |
---|
Lulu
Nombre de messages : 856 Date d'inscription : 05/12/2006
| Sujet: L'histoire sans fin. Mer 9 Mai - 20:34 | |
| Une première phrase, puis en faisant copier-coller chacun rajoute son grain de sel... (autorisation de modifier la dernière ponctuation).
Je commence :
Cette première phrase est là pour commencer un récit sans fin. | |
| | | Guardian
Nombre de messages : 8540 Age : 71 Date d'inscription : 05/12/2006
| Sujet: Re: L'histoire sans fin. Mer 9 Mai - 20:45 | |
| Celle-ci pour le continuer...
(remarquez le suspense qui est déjà à son comble) _________________ Heureux soient les fêlés, car ils laisseront passer la lumière. [Michel Audiard]Pour être brillant aux échecs, faut pas être mat Si une frite n'a pas de mayo, elle ne pourra pas aller à la piscine | |
| | | Marie-Ange Admin
Nombre de messages : 20310 Age : 49 Localisation : Quelque part entre le sol et le ciel Date d'inscription : 04/12/2006
| Sujet: Re: L'histoire sans fin. Jeu 10 Mai - 6:44 | |
| Guardian "Cette première phrase est là pour commencer un récit sans fin.Celle-ci pour le continuer...Et comme on a aucune idée de quoi on va parler, ça promet." au suivant... _________________ Il y a tant à lire qu'une vie ne me suffira pas... Il y a tant de livres, que j'ai pas assez de place pour tout avoir sniff | |
| | | Guardian
Nombre de messages : 8540 Age : 71 Date d'inscription : 05/12/2006
| Sujet: Re: L'histoire sans fin. Jeu 10 Mai - 9:15 | |
| "Cette première phrase est là pour commencer un récit sans fin. Celle-ci pour le continuer... Et comme on a aucune idée de quoi on va parler, ça promet."
Mais baste ! Lançons nous donc dans ce récit palpitant...
(il est ptèt pas le pis tant... mais bon...) _________________ Heureux soient les fêlés, car ils laisseront passer la lumière. [Michel Audiard]Pour être brillant aux échecs, faut pas être mat Si une frite n'a pas de mayo, elle ne pourra pas aller à la piscine | |
| | | Sopalin
Nombre de messages : 450 Date d'inscription : 06/12/2006
| Sujet: Re: L'histoire sans fin. Jeu 10 Mai - 11:10 | |
| Cette première phrase est là pour commencer un récit sans fin. Celle-ci pour le continuer... Et comme on a aucune idée de quoi on va parler, ça promet. Mais baste ! Lançons nous donc dans ce récit palpitant qui commence un jeudi sans soleil | |
| | | Lulu
Nombre de messages : 856 Date d'inscription : 05/12/2006
| Sujet: Re: L'histoire sans fin. Jeu 10 Mai - 12:17 | |
| Cette première phrase est là pour commencer un récit sans fin. Celle-ci pour le continuer... Et comme on a aucune idée de quoi on va parler, ça promet. Mais baste ! Lançons nous donc dans ce récit palpitant qui commence un jeudi sans soleil. A ce jour j'ai connu environ 2650 jeudi dont une bonne part ensoleillés ou non, mais celui-là fut un jour exceptionnel. | |
| | | la blonde
Nombre de messages : 1294 Date d'inscription : 13/12/2006
| Sujet: Re: L'histoire sans fin. Jeu 10 Mai - 16:16 | |
| Cette première phrase est là pour commencer un récit sans fin. Celle-ci pour le continuer... Et comme on a aucune idée de quoi on va parler, ça promet. Mais baste ! Lançons nous donc dans ce récit palpitant qui commence un jeudi sans soleil. A ce jour j'ai connu environ 2650 jeudi dont une bonne part ensoleillés ou non, mais celui-là fut un jour exceptionnel. Pour la première fois, le jardinier du petit square parisien que je fréquente fréquemment m'a avouée que j'étais son rayon de soleil!!! | |
| | | Marie-Ange Admin
Nombre de messages : 20310 Age : 49 Localisation : Quelque part entre le sol et le ciel Date d'inscription : 04/12/2006
| Sujet: Re: L'histoire sans fin. Jeu 10 Mai - 16:31 | |
| Cette première phrase est là pour commencer un récit sans fin. Celle-ci pour le continuer... Et comme on a aucune idée de quoi on va parler, ça promet. Mais baste ! Lançons nous donc dans ce récit palpitant qui commence un jeudi sans soleil. A ce jour j'ai connu environ 2650 jeudi dont une bonne part ensoleillés ou non, mais celui-là fut un jour exceptionnel. Pour la première fois, le jardinier du petit square parisien que je fréquente fréquemment m'a avouée que j'étais son rayon de soleil!!! J'en ai rougi ; j'étais plus rouge encore que la rose de Lulu. _________________ Il y a tant à lire qu'une vie ne me suffira pas... Il y a tant de livres, que j'ai pas assez de place pour tout avoir sniff | |
| | | Lulu
Nombre de messages : 856 Date d'inscription : 05/12/2006
| Sujet: Re: L'histoire sans fin. Jeu 10 Mai - 16:44 | |
| Cette première phrase est là pour commencer un récit sans fin. Celle-ci pour le continuer... Et comme on a aucune idée de quoi on va parler, ça promet. Mais baste ! Lançons nous donc dans ce récit palpitant qui commence un jeudi sans soleil. A ce jour j'ai connu environ 2650 jeudi dont une bonne part ensoleillés ou non, mais celui-là fut un jour exceptionnel. Pour la première fois, le jardinier du petit square parisien que je fréquente fréquemment m'a avouée que j'étais son rayon de soleil!!! J'en ai rougi ; j'étais plus rouge encore que la rose de Lulu. Et voilà comment une rose sans nom, éclose dans mon jardin de parents-boutureurs inconnus s'est retrouvée dans cette histoire qu'il va bien falloir écrire un jour. | |
| | | la blonde
Nombre de messages : 1294 Date d'inscription : 13/12/2006
| Sujet: Re: L'histoire sans fin. Jeu 10 Mai - 16:45 | |
| Cette première phrase est là pour commencer un récit sans fin. Celle-ci pour le continuer... Et comme on a aucune idée de quoi on va parler, ça promet. Mais baste ! Lançons nous donc dans ce récit palpitant qui commence un jeudi sans soleil. A ce jour j'ai connu environ 2650 jeudi dont une bonne part ensoleillés ou non, mais celui-là fut un jour exceptionnel. Pour la première fois, le jardinier du petit square parisien que je fréquente fréquemment m'a avouée que j'étais son rayon de soleil!!! J'en ai rougi ; j'étais plus rouge encore que la rose de Lulu. - seuls mes yeux ont pu le remercier | |
| | | Guardian
Nombre de messages : 8540 Age : 71 Date d'inscription : 05/12/2006
| Sujet: Re: L'histoire sans fin. Jeu 10 Mai - 17:57 | |
| Faudra vous synchroniser les filles - Lulu a écrit:
- Cette première phrase est là pour commencer un récit sans fin.
Celle-ci pour le continuer... Et comme on a aucune idée de quoi on va parler, ça promet. Mais baste ! Lançons nous donc dans ce récit palpitant qui commence un jeudi sans soleil. A ce jour j'ai connu environ 2650 jeudi dont une bonne part ensoleillés ou non, mais celui-là fut un jour exceptionnel. Pour la première fois, le jardinier du petit square parisien que je fréquente fréquemment m'a avouée que j'étais son rayon de soleil!!! J'en ai rougi ; j'étais plus rouge encore que la rose de Lulu. Seuls mes yeux ont pu le remercier... Et voilà comment une rose sans nom, éclose dans mon jardin de parents-boutureurs inconnus s'est retrouvée dans cette histoire qu'il va bien falloir écrire un jour. _________________ Heureux soient les fêlés, car ils laisseront passer la lumière. [Michel Audiard]Pour être brillant aux échecs, faut pas être mat Si une frite n'a pas de mayo, elle ne pourra pas aller à la piscine | |
| | | la blonde
Nombre de messages : 1294 Date d'inscription : 13/12/2006
| Sujet: Re: L'histoire sans fin. Jeu 10 Mai - 19:03 | |
| lulu!!! excuses-moi priorité à la jeunesse | |
| | | Marie-Ange Admin
Nombre de messages : 20310 Age : 49 Localisation : Quelque part entre le sol et le ciel Date d'inscription : 04/12/2006
| Sujet: Re: L'histoire sans fin. Jeu 10 Mai - 19:08 | |
| Bein non, regardes, Guardian a compilé les deux, ta phrase et celle de Lulu...
Cette première phrase est là pour commencer un récit sans fin. Celle-ci pour le continuer... Et comme on a aucune idée de quoi on va parler, ça promet. Mais baste ! Lançons nous donc dans ce récit palpitant qui commence un jeudi sans soleil. A ce jour j'ai connu environ 2650 jeudi dont une bonne part ensoleillés ou non, mais celui-là fut un jour exceptionnel. Pour la première fois, le jardinier du petit square parisien que je fréquente fréquemment m'a avouée que j'étais son rayon de soleil!!! J'en ai rougi ; j'étais plus rouge encore que la rose de Lulu. Seuls mes yeux ont pu le remercier... Et voilà comment une rose sans nom, éclose dans mon jardin de parents-boutureurs inconnus s'est retrouvée dans cette histoire qu'il va bien falloir écrire un jour. Mettons-nous donc en route, amis, sinon demain, nous n'aurons pas encore commencé. _________________ Il y a tant à lire qu'une vie ne me suffira pas... Il y a tant de livres, que j'ai pas assez de place pour tout avoir sniff | |
| | | tib
Nombre de messages : 983 Date d'inscription : 20/04/2007
| Sujet: Re: L'histoire sans fin. Ven 11 Mai - 2:24 | |
| Cette première phrase est là pour commencer un récit sans fin. Celle-ci pour le continuer... Et comme on a aucune idée de quoi on va parler, ça promet. Mais baste ! Lançons nous donc dans ce récit palpitant qui commence un jeudi sans soleil. A ce jour j'ai connu environ 2650 jeudi dont une bonne part ensoleillés ou non, mais celui-là fut un jour exceptionnel. Pour la première fois, le jardinier du petit square parisien que je fréquente fréquemment m'a avouée que j'étais son rayon de soleil!!! J'en ai rougi ; j'étais plus rouge encore que la rose de Lulu. Seuls mes yeux ont pu le remercier... Et voilà comment une rose sans nom, éclose dans mon jardin de parents-boutureurs inconnus s'est retrouvée dans cette histoire qu'il va bien falloir écrire un jour. Mettons-nous donc en route, amis, sinon demain, nous n'aurons pas encore commencé n'ayant pas de quoi m'offrir un rosbeef purée, je débarquais, sans barque ni quai, dans ce jardin de roses bleues dont l'étrange pet du jardinier me souriait de toutes ses boutures, ça sent le piège, me dis-je en catimini, car je parlais cette langue | |
| | | Marie-Ange Admin
Nombre de messages : 20310 Age : 49 Localisation : Quelque part entre le sol et le ciel Date d'inscription : 04/12/2006
| Sujet: Re: L'histoire sans fin. Ven 11 Mai - 9:04 | |
| Cette première phrase est là pour commencer un récit sans fin. Celle-ci pour le continuer... Et comme on a aucune idée de quoi on va parler, ça promet. Mais baste ! Lançons nous donc dans ce récit palpitant qui commence un jeudi sans soleil. A ce jour j'ai connu environ 2650 jeudi dont une bonne part ensoleillés ou non, mais celui-là fut un jour exceptionnel. Pour la première fois, le jardinier du petit square parisien que je fréquente fréquemment m'a avouée que j'étais son rayon de soleil!!! J'en ai rougi ; j'étais plus rouge encore que la rose de Lulu. Seuls mes yeux ont pu le remercier... Et voilà comment une rose sans nom, éclose dans mon jardin de parents-boutureurs inconnus s'est retrouvée dans cette histoire qu'il va bien falloir écrire un jour. Mettons-nous donc en route, amis, sinon demain, nous n'aurons pas encore commencé n'ayant pas de quoi m'offrir un rosbeef purée, je débarquais, sans barque ni quai, dans ce jardin de roses bleues dont l'étrange pet du jardinier me souriait de toutes ses boutures, ça sent le piège, me dis-je en catimini, car je parlais cette langue Je ? Mais qui suis-je d'ailleurs ? et nous ? qui sommes-nous ? _________________ Il y a tant à lire qu'une vie ne me suffira pas... Il y a tant de livres, que j'ai pas assez de place pour tout avoir sniff | |
| | | Guardian
Nombre de messages : 8540 Age : 71 Date d'inscription : 05/12/2006
| Sujet: Re: L'histoire sans fin. Ven 11 Mai - 10:13 | |
| Cette première phrase est là pour commencer un récit sans fin. Celle-ci pour le continuer... Et comme on a aucune idée de quoi on va parler, ça promet. Mais baste ! Lançons nous donc dans ce récit palpitant qui commence un jeudi sans soleil. A ce jour j'ai connu environ 2650 jeudi dont une bonne part ensoleillés ou non, mais celui-là fut un jour exceptionnel. Pour la première fois, le jardinier du petit square parisien que je fréquente fréquemment m'a avouée que j'étais son rayon de soleil!!! J'en ai rougi ; j'étais plus rouge encore que la rose de Lulu. Seuls mes yeux ont pu le remercier... Et voilà comment une rose sans nom, éclose dans mon jardin de parents-boutureurs inconnus s'est retrouvée dans cette histoire qu'il va bien falloir écrire un jour. Mettons-nous donc en route, amis, sinon demain, nous n'aurons pas encore commencé n'ayant pas de quoi m'offrir un rosbeef purée, je débarquais, sans barque ni quai, dans ce jardin de roses bleues dont l'étrange pet du jardinier me souriait de toutes ses boutures, ça sent le piège, me dis-je en catimini, car je parlais cette langue Je ? Mais qui suis-je d'ailleurs ? et nous ? qui sommes-nous ? Naaaaaaaaan J'rigole... Les questions existentielles très peu pour moi. Je voulais juste vous faire peur Donc, reprens-je, je m'avance dans ce parterre (bien oui, au plafond ça tient mal) de roses bleues. Horreur !! J'avais rasion ! C'est un pière et me voici dedans... _________________ Heureux soient les fêlés, car ils laisseront passer la lumière. [Michel Audiard]Pour être brillant aux échecs, faut pas être mat Si une frite n'a pas de mayo, elle ne pourra pas aller à la piscine | |
| | | Lulu
Nombre de messages : 856 Date d'inscription : 05/12/2006
| Sujet: Re: L'histoire sans fin. Ven 11 Mai - 10:36 | |
| Cette première phrase est là pour commencer un récit sans fin. Celle-ci pour le continuer... Et comme on a aucune idée de quoi on va parler, ça promet. Mais baste ! Lançons nous donc dans ce récit palpitant qui commence un jeudi sans soleil. A ce jour j'ai connu environ 2650 jeudi dont une bonne part ensoleillés ou non, mais celui-là fut un jour exceptionnel. Pour la première fois, le jardinier du petit square parisien que je fréquente fréquemment m'a avouée que j'étais son rayon de soleil!!! J'en ai rougi ; j'étais plus rouge encore que la rose de Lulu. Seuls mes yeux ont pu le remercier... Et voilà comment une rose sans nom, éclose dans mon jardin de parents-boutureurs inconnus s'est retrouvée dans cette histoire qu'il va bien falloir écrire un jour. Mettons-nous donc en route, amis, sinon demain, nous n'aurons pasencore commencé n'ayant pas de quoi m'offrir un rosbeef purée, je débarquais, sans barque ni quai, dans ce jardin de roses bleues dont l'étrange pet du jardinier me souriait de toutes ses boutures, ça sent le piège, me dis-je en catimini, car je parlais cette langue Je ? Mais qui suis-je d'ailleurs ? et nous ? qui sommes-nous ? Naaaaaaaaan J'rigole... Les questions existentielles très peu pour moi. Je voulais juste vous faire peur Donc, reprens-je, je m'avance dans ce parterre (bien oui, au plafond ça tient mal) de roses bleues. Horreur !! J'avais rasion ! C'est une pière et me voici dedans... Et voici comment le héros non encore désigné de cette histoire découvre que s'est subrepticement et en catimini introduit un espion germain. Kasskapoint avait été formé à la schoukoutschule (schüle ?) mais dans les moments d'intense excitation, son accent originel reprenait le dessus. | |
| | | la blonde
Nombre de messages : 1294 Date d'inscription : 13/12/2006
| Sujet: Re: L'histoire sans fin. Ven 11 Mai - 11:44 | |
| Cette première phrase est là pour commencer un récit sans fin. Celle-ci pour le continuer... Et comme on a aucune idée de quoi on va parler, ça promet. Mais baste ! Lançons nous donc dans ce récit palpitant qui commence un jeudi sans soleil. A ce jour j'ai connu environ 2650 jeudi dont une bonne part ensoleillés ou non, mais celui-là fut un jour exceptionnel. Pour la première fois, le jardinier du petit square parisien que je fréquente fréquemment m'a avouée que j'étais son rayon de soleil!!! J'en ai rougi ; j'étais plus rouge encore que la rose de Lulu. Seuls mes yeux ont pu le remercier... Et voilà comment une rose sans nom, éclose dans mon jardin de parents-boutureurs inconnus s'est retrouvée dans cette histoire qu'il va bien falloir écrire un jour. Mettons-nous donc en route, amis, sinon demain, nous n'aurons pasencore commencé n'ayant pas de quoi m'offrir un rosbeef purée, je débarquais, sans barque ni quai, dans ce jardin de roses bleues dont l'étrange pet du jardinier me souriait de toutes ses boutures, ça sent le piège, me dis-je en catimini, car je parlais cette langue Je ? Mais qui suis-je d'ailleurs ? et nous ? qui sommes-nous ? Naaaaaaaaan J'rigole... Les questions existentielles très peu pour moi. Je voulais juste vous faire peur Donc, reprens-je, je m'avance dans ce parterre (bien oui, au plafond ça tient mal) de roses bleues. Horreur !! J'avais rasion ! C'est une pière et me voici dedans... Et voici comment le héros non encore désigné de cette histoire découvre que s'est subrepticement et en catimini introduit un espion germain. Kasskapoint avait été formé à la schoukoutschule (schüle ?) mais dans les moments d'intense excitation, son accent originel reprenait le dessus. un, deux!!ya!!!!!! | |
| | | Marie-Ange Admin
Nombre de messages : 20310 Age : 49 Localisation : Quelque part entre le sol et le ciel Date d'inscription : 04/12/2006
| Sujet: Re: L'histoire sans fin. Ven 11 Mai - 13:58 | |
| Cette première phrase est là pour commencer un récit sans fin. Celle-ci pour le continuer... Et comme on a aucune idée de quoi on va parler, ça promet. Mais baste ! Lançons nous donc dans ce récit palpitant qui commence un jeudi sans soleil. A ce jour j'ai connu environ 2650 jeudi dont une bonne part ensoleillés ou non, mais celui-là fut un jour exceptionnel. Pour la première fois, le jardinier du petit square parisien que je fréquente fréquemment m'a avouée que j'étais son rayon de soleil!!! J'en ai rougi ; j'étais plus rouge encore que la rose de Lulu. Seuls mes yeux ont pu le remercier... Et voilà comment une rose sans nom, éclose dans mon jardin de parents-boutureurs inconnus s'est retrouvée dans cette histoire qu'il va bien falloir écrire un jour. Mettons-nous donc en route, amis, sinon demain, nous n'aurons pasencore commencé n'ayant pas de quoi m'offrir un rosbeef purée, je débarquais, sans barque ni quai, dans ce jardin de roses bleues dont l'étrange pet du jardinier me souriait de toutes ses boutures, ça sent le piège, me dis-je en catimini, car je parlais cette langue Je ? Mais qui suis-je d'ailleurs ? et nous ? qui sommes-nous ? Naaaaaaaaan J'rigole... Les questions existentielles très peu pour moi. Je voulais juste vous faire peur Donc, reprens-je, je m'avance dans ce parterre (bien oui, au plafond ça tient mal) de roses bleues. Horreur !! J'avais rasion ! C'est une pière et me voici dedans... Et voici comment le héros non encore désigné de cette histoire découvre que s'est subrepticement et en catimini introduit un espion germain. Kasskapoint avait été formé à la schoukoutschule (schüle ?) mais dans les moments d'intense excitation, son accent originel reprenait le dessus. un, deux!!ya!!!!!! Peut-être le héros non encore nommé, fut-il dans une autre vie roi, ce qui expliquerait qu'il parle parfois de lui en utilisant le "nous" royal ; aujourd'hui, de condition modeste - à moins qu'il ne nous cache sa vrai nature, ; espion peut-être qui se doit de brouiller les pistes - il parle aujourd'hui de lui à la première personne du singulier, comme n'importe quel quidam. _________________ Il y a tant à lire qu'une vie ne me suffira pas... Il y a tant de livres, que j'ai pas assez de place pour tout avoir sniff | |
| | | tib
Nombre de messages : 983 Date d'inscription : 20/04/2007
| Sujet: Re: L'histoire sans fin. Dim 13 Mai - 2:04 | |
| Nous voila au cœur de cette mystérieuse intrigue. Le quidam en question, qui met sa dame en scène ? Kaskapointe ? l’espion mi raisin mi figue Au visage torturé, a la voix inhumaine ? | |
| | | Lulu
Nombre de messages : 856 Date d'inscription : 05/12/2006
| Sujet: Re: L'histoire sans fin. Dim 13 Mai - 4:44 | |
| Et ce tib-là qui écrit en vers nous prête bien des facilités Comment allons-nous faire Là n'est point notre tasse de thé. | |
| | | Sopalin
Nombre de messages : 450 Date d'inscription : 06/12/2006
| Sujet: Re: L'histoire sans fin. Dim 13 Mai - 7:19 | |
| Cette première phrase est là pour commencer un récit sans fin. Celle-ci pour le continuer... Et comme on a aucune idée de quoi on va parler, ça promet. Mais baste ! Lançons nous donc dans ce récit palpitant qui commence un jeudi sans soleil. A ce jour j'ai connu environ 2650 jeudi dont une bonne part ensoleillés ou non, mais celui-là fut un jour exceptionnel. Pour la première fois, le jardinier du petit square parisien que je fréquente fréquemment m'a avouée que j'étais son rayon de soleil!!! J'en ai rougi ; j'étais plus rouge encore que la rose de Lulu. Seuls mes yeux ont pu le remercier... Et voilà comment une rose sans nom, éclose dans mon jardin de parents-boutureurs inconnus s'est retrouvée dans cette histoire qu'il va bien falloir écrire un jour. Mettons-nous donc en route, amis, sinon demain, nous n'aurons pasencore commencé n'ayant pas de quoi m'offrir un rosbeef purée, je débarquais, sans barque ni quai, dans ce jardin de roses bleues dont l'étrange pet du jardinier me souriait de toutes ses boutures, ça sent le piège, me dis-je en catimini, car je parlais cette langue Je ? Mais qui suis-je d'ailleurs ? et nous ? qui sommes-nous ? Naaaaaaaaan J'rigole... Les questions existentielles très peu pour moi. Je voulais juste vous faire peur Donc, reprens-je, je m'avance dans ce parterre (bien oui, au plafond ça tient mal) de roses bleues. Horreur !! J'avais rasion ! C'est une pière et me voici dedans... Et voici comment le héros non encore désigné de cette histoire découvre que s'est subrepticement et en catimini introduit un espion germain. Kasskapoint avait été formé à la schoukoutschule (schüle ?) mais dans les moments d'intense excitation, son accent originel reprenait le dessus. un, deux!!ya!!!!!! Peut-être le héros non encore nommé, fut-il dans une autre vie roi, ce qui expliquerait qu'il parle parfois de lui en utilisant le "nous" royal ; aujourd'hui, de condition modeste - à moins qu'il ne nous cache sa vrai nature, ; espion peut-être qui se doit de brouiller les pistes - il parle aujourd'hui de lui à la première personne du singulier, comme n'importe quel quidam. Voici comment naquirent mes soupçons sur l'infâme Kaskapoint, un jour que, pour les besoins de la cause, je dînais à la soupe populaire. | |
| | | Marie-Ange Admin
Nombre de messages : 20310 Age : 49 Localisation : Quelque part entre le sol et le ciel Date d'inscription : 04/12/2006
| Sujet: Re: L'histoire sans fin. Dim 13 Mai - 7:22 | |
| Cette première phrase est là pour commencer un récit sans fin. Celle-ci pour le continuer... Et comme on a aucune idée de quoi on va parler, ça promet. Mais baste ! Lançons nous donc dans ce récit palpitant qui commence un jeudi sans soleil. A ce jour j'ai connu environ 2650 jeudi dont une bonne part ensoleillés ou non, mais celui-là fut un jour exceptionnel. Pour la première fois, le jardinier du petit square parisien que je fréquente fréquemment m'a avouée que j'étais son rayon de soleil!!! J'en ai rougi ; j'étais plus rouge encore que la rose de Lulu. Seuls mes yeux ont pu le remercier... Et voilà comment une rose sans nom, éclose dans mon jardin de parents-boutureurs inconnus s'est retrouvée dans cette histoire qu'il va bien falloir écrire un jour. Mettons-nous donc en route, amis, sinon demain, nous n'aurons pasencore commencé n'ayant pas de quoi m'offrir un rosbeef purée, je débarquais, sans barque ni quai, dans ce jardin de roses bleues dont l'étrange pet du jardinier me souriait de toutes ses boutures, ça sent le piège, me dis-je en catimini, car je parlais cette langue Je ? Mais qui suis-je d'ailleurs ? et nous ? qui sommes-nous ? Naaaaaaaaan J'rigole... Les questions existentielles très peu pour moi. Je voulais juste vous faire peur Donc, reprens-je, je m'avance dans ce parterre (bien oui, au plafond ça tient mal) de roses bleues. Horreur !! J'avais rasion ! C'est une pière et me voici dedans... Et voici comment le héros non encore désigné de cette histoire découvre que s'est subrepticement et en catimini introduit un espion germain. Kasskapoint avait été formé à la schoukoutschule (schüle ?) mais dans les moments d'intense excitation, son accent originel reprenait le dessus. un, deux!!ya!!!!!! Peut-être le héros non encore nommé, fut-il dans une autre vie roi, ce qui expliquerait qu'il parle parfois de lui en utilisant le "nous" royal ; aujourd'hui, de condition modeste - à moins qu'il ne nous cache sa vrai nature, ; espion peut-être qui se doit de brouiller les pistes - il parle aujourd'hui de lui à la première personne du singulier, comme n'importe quel quidam. Voici comment naquirent mes soupçons sur l'infâme Kaskapoint, un jour que, pour les besoins de la cause, je dînais à la soupe populaire. On m'y servi un steck haché et des coquillettes sauce tomate mais même pas de soupe. _________________ Il y a tant à lire qu'une vie ne me suffira pas... Il y a tant de livres, que j'ai pas assez de place pour tout avoir sniff | |
| | | Lulu
Nombre de messages : 856 Date d'inscription : 05/12/2006
| Sujet: Re: L'histoire sans fin. Dim 13 Mai - 8:08 | |
| Cette première phrase est là pour commencer un récit sans fin. Celle-ci pour le continuer... Et comme on a aucune idée de quoi on va parler, ça promet. Mais baste ! Lançons nous donc dans ce récit palpitant qui commence un jeudi sans soleil. A ce jour j'ai connu environ 2650 jeudi dont une bonne part ensoleillés ou non, mais celui-là fut un jour exceptionnel. Pour la première fois, le jardinier du petit square parisien que je fréquente fréquemment m'a avouée que j'étais son rayon de soleil!!! J'en ai rougi ; j'étais plus rouge encore que la rose de Lulu. Seuls mes yeux ont pu le remercier... Et voilà comment une rose sans nom, éclose dans mon jardin de parents-boutureurs inconnus s'est retrouvée dans cette histoire qu'il va bien falloir écrire un jour. Mettons-nous donc en route, amis, sinon demain, nous n'aurons pasencore commencé n'ayant pas de quoi m'offrir un rosbeef purée, je débarquais, sans barque ni quai, dans ce jardin de roses bleues dont l'étrange pet du jardinier me souriait de toutes ses boutures, ça sent le piège, me dis-je en catimini, car je parlais cette langue Je ? Mais qui suis-je d'ailleurs ? et nous ? qui sommes-nous ? Naaaaaaaaan J'rigole... Les questions existentielles très peu pour moi. Je voulais juste vous faire peur Donc, reprens-je, je m'avance dans ce parterre (bien oui, au plafond ça tient mal) de roses bleues. Horreur !! J'avais rasion ! C'est une pière et me voici dedans... Et voici comment le héros non encore désigné de cette histoire découvre que s'est subrepticement et en catimini introduit un espion germain. Kasskapoint avait été formé à la schoukoutschule (schüle ?) mais dans les moments d'intense excitation, son accent originel reprenait le dessus. un, deux!!ya!!!!!! Peut-être le héros non encore nommé, fut-il dans une autre vie roi, ce qui expliquerait qu'il parle parfois de lui en utilisant le "nous" royal ; aujourd'hui, de condition modeste - à moins qu'il ne nous cache sa vrai nature, ; espion peut-être qui se doit de brouiller les pistes - il parle aujourd'hui de lui à la première personne du singulier, comme n'importe quel quidam. Voici comment naquirent mes soupçons sur l'infâme Kaskapoint, un jour que, pour les besoins de la cause, je dînais à la soupe populaire. On m'y servi un steck haché et des coquillettes sauce tomate mais même pas de soupe. Le temps était bien fini des rogatons qui venaient de l'assiette de l'empereur. Zola ne fait plus recette ; mais notre espion entendant des voix derrière une porte la poussa prudemment et découvrit avec stupeur... | |
| | | tib
Nombre de messages : 983 Date d'inscription : 20/04/2007
| Sujet: Re: L'histoire sans fin. Dim 13 Mai - 8:20 | |
| Cette première phrase est là pour commencer un récit sans fin. Celle-ci pour le continuer... Et comme on a aucune idée de quoi on va parler, ça promet. Mais baste ! Lançons nous donc dans ce récit palpitant qui commence un jeudi sans soleil. A ce jour j'ai connu environ 2650 jeudi dont une bonne part ensoleillés ou non, mais celui-là fut un jour exceptionnel. Pour la première fois, le jardinier du petit square parisien que je fréquente fréquemment m'a avouée que j'étais son rayon de soleil!!! J'en ai rougi ; j'étais plus rouge encore que la rose de Lulu. Seuls mes yeux ont pu le remercier... Et voilà comment une rose sans nom, éclose dans mon jardin de parents-boutureurs inconnus s'est retrouvée dans cette histoire qu'il va bien falloir écrire un jour. Mettons-nous donc en route, amis, sinon demain, nous n'aurons pasencore commencé n'ayant pas de quoi m'offrir un rosbeef purée, je débarquais, sans barque ni quai, dans ce jardin de roses bleues dont l'étrange pet du jardinier me souriait de toutes ses boutures, ça sent le piège, me dis-je en catimini, car je parlais cette langue Je ? Mais qui suis-je d'ailleurs ? et nous ? qui sommes-nous ? Naaaaaaaaan J'rigole... Les questions existentielles très peu pour moi. Je voulais juste vous faire peur Donc, reprens-je, je m'avance dans ce parterre (bien oui, au plafond ça tient mal) de roses bleues. Horreur !! J'avais rasion ! C'est une pière et me voici dedans... Et voici comment le héros non encore désigné de cette histoire découvre que s'est subrepticement et en catimini introduit un espion germain. Kasskapoint avait été formé à la schoukoutschule (schüle ?) mais dans les moments d'intense excitation, son accent originel reprenait le dessus. un, deux!!ya!!!!!! Peut-être le héros non encore nommé, fut-il dans une autre vie roi, ce qui expliquerait qu'il parle parfois de lui en utilisant le "nous" royal ; aujourd'hui, de condition modeste - à moins qu'il ne nous cache sa vrai nature, ; espion peut-être qui se doit de brouiller les pistes - il parle aujourd'hui de lui à la première personne du singulier, comme n'importe quel quidam. Voici comment naquirent mes soupçons sur l'infâme Kaskapoint, un jour que, pour les besoins de la cause, je dînais à la soupe populaire. On m'y servi un steck haché et des coquillettes sauce tomate mais même pas de soupe. qu'importe la soupe pourvu qu'on ai la peche gronda notre zero d'une voix sans issu tout en s'épluchant une prune, le cas kaskapointe doit etre kaskaputé illico (hugh répondit l'écho) | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: L'histoire sans fin. | |
| |
| | | | L'histoire sans fin. | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|