Stephen Peters

Central Park

Ce livre, c'est comme les séries des années 80, c'est dépassé, mais j'aime bien.

En 80, Harris, ancien du VietNam, décide de prendre possession de Central Park et d'y refaire sa guerre. Il a le matériel, la stratégie, la connaissance et il est complètement cinglé, même si on peut l'excuser puisque c'est le traumatisme de la guerre qu'il revit, n'empêche qu'il est dingue quand même.
Les forces de police, certaines d'avoir affaire à des terroristes, vont se casser les dents.
Le chef de la force d'intervention va finir par se dire que cela ressemble fort au VietNam tout ça.
Seul un adjoint au maire réalise réellement qu'il n'y a qu'un seul type et qu'il se refait sa guerre, mais personne ne l'écoute, jusqu'au moment où après qu'un tank envoyé dans le parc eu explosé et que seule option proposée est d'envoyer du Napalm sur Central Park ( ), on fini par accepter son idée, à savoir envoyer des mercenaires, vietnamiens, qui eux aussi ont fait la guerre, pour déloger Harris.
On est presque à la fin du livre et là on rigole un peu avec les viets qui démontent les pièges à cons de Harris pour mettre les leurs à la place.
Du côté des personnages, notons aussi une journaliste, ou plutôt une cameraman euh, woman freelance, qui carbure à l'adrénaline depuis son enfance, accro aux accidents, aux meurtres, aux incendits, explosions, etc... une barge aussi quoi.

Bref, c'est un peu , très loin de la grande littérature, mais je vais quand même me faire le plaisir de le garder sur mes étagères celui-là